Publié dans Société

Célébration du 26 juin - Une petite pensée venant de l’espace

Publié le dimanche, 27 juin 2021

« Manao ahoana Madagascar ! L’île est tellement grande que j’ai eu du mal à la faire entrer dans le cadre ! Elle ressemble à un continent, ses couleurs sont incroyables ». Ce sont en ces mots que Thomas Pesquet a dédié une publication pour la Grande île, en marge de la célébration de sa fête nationale, le 26 juin dernier.

Coïncidence ou non, ce message de l’astronaute en charge de la Mission Alpha est rempli de compliments. Il ne connait le pays que depuis l’espace, et pourtant pour lui, Madagascar a l’étoffe pour être un continent de par sa taille et pas seulement un pays. C’est un message encourageant surtout en ces périodes de crise, entre problèmes environnementaux et économiques. Le pays doit se démener pour s’en sortir. Il faut savoir que ce n’est pas la première fois que Thomas Pesquet vante la beauté du pays depuis l’espace. En effet, le 05 juin dernier, il a déjà publié des clichés de Betsiboka vu depuis l’espace. « Un des plus beaux pays du monde sans aucun doute : Madagascar ! On est accueilli par l’embouchure de la Betsiboka, qui déploie de magnifiques veines rouges sur des dizaines de kilomètres », soutient-il dans sa publication.

Dans les détails, Thomas Pesquet est un astronaute français. Il participe actuellement à la Mission Alpha à bord de la Station spatiale internationale, qu’il a rejointe le 23 avril dernier et ne repartira qu’en octobre. En tout cas, depuis, il ne cesse de partager des photos spectaculaires sur sa page Facebook. Une manière de partager toutes les belles choses qu’il observe depuis l’espace.

La Rédaction

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Editorial

  • Débrayage inapproprié
    Les employés de la JIRAMA déclenchent un mouvement de grève. Sauvage ou irréfléchie ! Anachronique ou irresponsable ! Anti-économique ou contre-productive ! On hésite de quel adjectif devrait-on qualifier de façon précise cette énième grève du personnel de la JIRAMA. Quoi qu’il en soit, un débrayage dans un service public est toujours considéré comme inapproprié. Quels que soient les arguments avancés pour justifier le geste, un arrêt de travail d’un service public comme celui de la JIRAMA pénalise en premier lieu les usagers. Les clients, pour ne pas le dire la population, se voient priver de leurs besoins fondamentaux : l’eau et l’électricité. En fait, ils sont punis pour quelque chose dont ils n’ont rien à voir. Dans ce genre de situation, les innocents usagers sont toujours les premières victimes. Et éternelles victimes ! Déjà en temps « normal », ils subissent le calvaire dû aux délestages intempestifs et aux…

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